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La santé en France ne s’améliore pas depuis un certain moment. En effet, de nombreux cas de bronchiolite se sont présentés dans les hôpitaux et les services de pédiatrie.
Et cette dernière touche beaucoup d’enfants dans la tranche d’âge de 1 mois à 2 ans. De plus, nous sommes maintenant dans la saison où celle-ci est à son pic. En effet, elle a commencé à la mi-octobre et se terminera en décembre. Cette maladie crée des complications au niveau de ces cibles. On vous raconte !
Santé : Pourquoi les services de pédiatrie sont saturés ?
Personne ne s’est préparé à l’épidémie de bronchiolite. D’ailleurs, plus de 1400 enfants ont été hospitalisés du 17 au 23 octobre 2022. Et 4311 ont été envoyés aux urgences. Ce chiffre est étonnamment élevé et cause de l’inquiétude chez les parents. Et cela surtout pour la santé de leurs enfants.
Cette infection est très contagieuse pour les tout-petits. Et cela, à cause du virus respiratoire syncytial (VRS), présent depuis plusieurs années. Effectivement, les enfants sont les plus aptes à être atteint de cette infection. Surtout ceux de 7 mois à 2 ans. Mais il y a des chances que ce dernier puisse atteindre certains adultes avec un système immunitaire faible. Il faut alors prendre soin de la santé durant cette période.
Mais, d’un autre côté, c’est également un problème de santé prévisible puisque chaque année, cette propagation revient et ne cesse d’augmenter. Cela a la même période. Et le fait que cette dernière n’a pas pu être contré signifie qu’on ne s’est pas bien préparé.
De plus, certains hôpitaux possèdent encore des places vacantes. Le problème est que ces dernières ne peuvent pas prendre de malades parce que le personnel de santé est insuffisant. Un médecin ne peut pas s’occuper de plusieurs enfants en même temps. Et cela rend alors les soins plus difficiles.
Transfert d’enfants
Depuis quelque temps, les cas de bronchiolite ne cessent d’augmenter et les services de pédiatrie sont pleins. Et certains enfants n’ont même pas eu la chance de recevoir des soins qu’ils allaient déjà en dehors de l’île de France. Cela a créé des complications dans tout le pays.
De même, un bébé de sept semaines avec une respiration sifflante est également dans un de ces hôpitaux. Adelaide Enlart, sa mère, l’a filmé à l’hôpital de Reims. En effet, plusieurs bébés du même cas ont été transférés dans cet hôpital. D’ailleurs, les médecins de leurs propres quartiers les ont envoyés là-bas et ne laissaient aucun choix à la famille. Leurs parents stressent alors plus et pensent à ce qu’ils peuvent faire pour améliorer la situation. Mais, malheureusement, on ne peut rien y faire et on apprend à vivre avec les problèmes de santé actuels.
Et cela ne touche pas uniquement les parents, mais aussi les responsables de la santé en charge du traitement des enfants. Ces derniers dénoncent une mise en danger des enfants. Et c’est le cas dans tout le pays, même dans les provinces. Puisque ces derniers reçoivent également des cas de bronchiolite.
Comme au CHU de Bordeaux, beaucoup d’enfants attendent également d’être soignés. Et leurs santés ne cessent de se dégrader. Aucun service de pédiatrie n’est libre pour cette période de l’année et cela continuera jusqu’en décembre.
Santé : Une mère désemparée face à la situation
Une femme, mère d’une enfant a précisé qu’elle était sidérée face à la situation qui touche la santé de sa fille et plusieurs autres bébés. En effet, c’est la première fois que la petite Mona est dans cet état. Et au lieu de lui donner le traitement nécessaire, les pédiatres lui disent alors de partir loin de chez eux pour la guérir.
Effectivement, depuis quelques jours, l’hôpital Reims a accueilli 11 bébés dans la même situation que Mona. L’hôpital Reims est d’ailleurs l’établissement où la petite Mona a été transférée. La mère de la petite fille est restée toute une nuit dans un hôpital sans rien recevoir. Cette dernière a découvert qu’elle ne pourrait pas rester dans l’établissement de santé. Les médecins leur a affirmé qu’ils doivent partir peu importe ce qu’il se passe. Par ailleurs, les médecins ont ajouté que ce sont les enfants ayant les moins de risque de mourir de la maladie qui obtiendront le transfert.