Squid Game : Quand jouer au jeu de notre enfance 1, 2, 3 soleil devient un jeu vraiment mortel !

Diffusée depuis le 17 septembre sur Netflix, la série phénomène Squid Game est au cœur de tous les sujets de conversation depuis quelques semaines.

Au-delà d’une simple série, Squid Game, c’est une vraie interrogation qui se pose pour les internautes : lorsque l’on est endetté, jusqu’où sommes-nous capables d’aller ? Sommes-nous prêts à jouer à des jeux d’enfants qui peuvent s’avérer dangereux ? Nous vous dirons tout sur cette série hors du commun qui n’a laissé personne insensible.

Résumé de la série Netfix Squid Game

La série Squid Game commence par un plan assez enfantin : on y voit des enfants jouer au « jeu du calamar ». La voix off fait un rappel des règles de ce jeu que nous connaissons très peu en Europe, mais que tous les jeunes coréens connaissent.

La série nous présente ensuite Seong Gi-Hun, interprété par Lee Jung-jae. Ce dernier vit avec sa mère dans une vieille maison. Il a une fille qu’il voit assez peu. À bientôt 40 ans, il vit encore aux crochets de sa mère. Le moindre centime qu’il possède est dépensé dans la seconde aux courses de chevaux.

Un jour, il vole la carte bancaire de sa mère. Son objectif initial était de retirer de l’argent pour offrir un beau cadeau d’anniversaire à sa fille. Cependant, Seong Gi-Hun a craqué : il a dépensé tout l’argent volé dans les paris sportifs. Pour une fois, il gagne.

Toutefois, un groupe de voyous lui tombe dessus et veut à tout prix qu’il rembourse ses dettes. Il voulait lui donner ce qu’il a gagné, mais il s’est aperçu qu’une jeune femme l’a volé avant. Seong Gi-Hun n’a pas eu d’autres choix que d’offrir un simple fast-food et un cadeau gagné dans une fête foraine à sa fille.

Il ne put pas s’empêcher de lui expliquer qu’il fera mieux l’année prochaine. La jeune fille semble avoir pitié de son père et lui répète que ce n’est pas grave avec beaucoup de maturité. Dans cette scène, nous avons même l’impression que le rapport père/fille est inversé.

La descente aux enfers

En prenant le métro, Seong Gi-Hun rencontre un homme bien habillé qui lui propose de jouer à un jeu. S’il perd, il se fera giflé. S’il gagne, il remportera une coquette somme d’argent. L’homme semble connaître beaucoup de détails sur la vie du coréen et lui propose d’intégrer un jeu qui peut lui rapporter gros.

Après plusieurs heures de réflexion, il décide d’y participer après avoir appris que sa fille risquait de partir à l’autre bout du monde s’il ne prouvait pas sa solvabilité pour obtenir la garde. Seong Gi-Hun se réveille au milieu de 455 personnes numérotées et habillées de la même façon. Le jeu va commencer. Il va créer des liens d’amitié avec certains de ses camarades au fur et à mesure de l’aventure.

Le premier jeu est le célèbre « 1, 2, 3 soleil ». Tous les participants semblent amusés. Toutefois, dès la première partie, un homme est abattu. Dans un élan de peur, presque 200 personnes sont tuées. Le premier qui bouge est immédiatement tué. Finalement, Seong Gi-Hun passera cette première épreuve, mais il connaît désormais le sens du mot « éliminé ».

Le problème est que ce jeu est désormais repris dans les cours de récréation des écoles élémentaires. Les enfants s’infligent des sévices entre eux en prétextant « jouer à Squid Game ». Les parents sont donc invités à faire preuve de beaucoup de vigilance.

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