La Casa de Papel : Ces anecdotes très surprenantes que vous ignorez surement sur la série Netflix !

Avec ses millions de fans à travers le monde, la série Netflix "La Casa de Papel" fait partie des séries TV qui sont les plus appréciées du moment.

Dans cet article, nous vous proposons quelques anecdotes très surprenantes sur la célèbre série de la plateforme de Streaming Netflix « La Casa de Papel » dont vous ignoriez certainement l’existence.

La série possédait originellement un autre titre

À l’origine, le créateur de « La Casa de Papel », Álex Pina, avait intitulé la série « Los Desahucianos » (« Les Expulsés »). Il s’agissait ainsi de faire allusion à la situation de ses personnages qui son exilés et constamment obligés de fuir. Le titre a ensuite été remplacé par « La Casa de Papel » (« La Maison de papier »), ce qui renvoie à la Fabrique nationale de la monnaie et du timbre localisée à Madrid.

Plus d’une cinquantaine de réécritures !

Si la quasi-totalité des films ou des séries TV font l’objet de réécritures, « La Casa de Papel » bat tous les records dans ce domaine. Son scénario a en effet exigé pas moins de 52 réécritures avant d’être considéré comme satisfaisant par son créateur !

Natalie Portman comme inspiration…

La jeune Natalie Portman, avec son « carré très court » et sa tenue punk, dans « Léon » de Luc Besson ont inspiré Álex Pina pour construire le personnage de Tokyo (jouée par Úrsula Corberó). Une coupe de cheveux originale qui, grâce au succès de la série, revient du coup à la mode !

Des saisons additionnelles

L’histoire de « La Casa de Papel » avait été conçue à l’origine par Álex Pina comme un diptyque qui devait se terminer définitivement après 2 saisons. Depuis son rachat par Netflix, la série a rencontré un tel succès que son créateur a décidé de lui offrir deux saisons supplémentaires pour développer son récit de manière encore plus détaillée.

Vrais ou faux billets ?

Dans la série, les braqueurs se servent de la Fabrique nationale de la monnaie et du timbre afin de procéder à l’impression de 2,4 milliards d’euros sous forme de billets. Les accessoiristes du show n’ont évidemment pas employé de véritables coupures. Ils ont tout simplement recyclé de vieux exemplaires du journal espagnol « ABC ».

Un gimmick spontané

Si vous faites partie des fans de la série, vous avez dû remarquer un détail récurrent dans ses différents épisodes. À chacune de ses apparitions à l’écran, le Professeur touche ses lunettes et les remet constamment en place sur son nez. En réalité, ce gimmick visuel n’a pas été inventé par les créateurs du show. Il s’agit d’un geste spontané de l’acteur Álvaro Morte qui, lors du tournage, était simplement gêné par cet accessoire qu’il ne porte pas dans la vraie vie !

Un budget modeste pour La Casa de Papel

« La Casa de Papel » a été tournée au départ avec un modeste budget d’environ 550 000 euros par épisode, ce qui correspond à dix fois moins que certaines séries telles que « Game of Thrones ». Ça ne l’a pas empêché d’offrir à ses spectateurs une œuvre qualitative, aussi bien sur le plan de la réalisation que du jeu d’acteur.

Une autre série TV a inspiré le show

Vous avez peut-être trouvé des similarités entre « La Casa de Papel » et certaines œuvres cinématographiques ou télévisuelles, dont la célèbre série américaine « Breaking Bad ». Cette dernière est en effet la source d’inspiration la plus importante de ses scénaristes qui sont fans du personnage de Walter White.

Un échec à ses débuts

Lors de sa diffusion initiale en Espagne, « La Casa de Papel » a subi un échec cuisant auprès des spectateurs. L’audience de la série est ainsi passée de plus de 4 millions de spectateurs pour le premier épisode à seulement 2 millions pour le dernier. Des chiffres surprenants, puisqu’elle figure aujourd’hui parmi les séries les plus populaires au monde !

Des planètes au lieu de villes

Au départ, Álex Pina souhaitait donner des noms de planètes, tels que Mars, Jupiter ou Saturne, à ces personnages. Un jour, alors que le créateur de la série portait un t-shirt sur lequel était inscrit « Tokyo« , l’un des réalisateurs lui a suggéré de nommer les protagonistes de l’histoire avec des noms de ville ! Álex Pina a donc changé d’avis et c’est ainsi que sont nés les surnoms des braqueurs de l’histoire.

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