C’était l’événement sur TF1 jeudi 11 mai 2023. Le premier épisode de la saison 3 de HPI a été diffusé. L’occasion de retrouver Morgane, le personnage principal de la série, jouée par Audrey Fleurot.
Si la comédienne Audrey Fleurot adore ce rôle, elle a tout de même confié, le même jour, sur le plateau de Quotidien, qui lui demandait beaucoup de travail.
Le salaire d’Audrey Fleurot pour HPI dévoilé
Grâce à cette série, il semblerait bien que TF1 ait trouvé sa poule aux œufs d’or pour les prochaines années ! L’année dernière, d’après nos confrères du Parisien, la chaîne a augmenté le prix de ses tarifs publicitaires.
En effet, une publicité diffusée lors de la première coupure pendant le premier épisode de la deuxième saison coûtait 150 000 euros bruts. Il s’agit d’une somme record pour une publicité, en dehors des événements sportifs, comme les matchs de football.
De la même manière, Audrey Fleurot touche une très belle somme pour son interprétation de Morgane Alvaro. Selon un article de nos confrères de Voici, l’actrice percevrait près de 200 000 euros par épisode. « Elle a déjà dit oui pour une saison 4 et une saison 5 va prochainement être signée », leur a confié une source.
Après tout, celle-ci a récemment évoqué une « énorme surprise à la fin de la saison 3 », auprès de Télé Magazine. Il est donc impossible que la série s’arrête si vite – et on avoue qu’on serait aussi un peu tristes !
L’actrice se confie sur le tournage de la série
À quelques heures de la diffusion, Audrey Fleurot accordait une interview à Yann Barthès, dans Quotidien. Très souvent en tournages, elle est amenée à beaucoup bouger pour faire prospérer sa carrière.
« C’est génial de tourner, j’ai rêvé de faire ce métier et j’ai la possibilité de choisir, donc ce n’est pas du tout triste. Le truc, que c’est un marathon HPI, dans le sens où j’ai énormément de textes, je suis quasiment de toutes les séquences, donc ça va avec une forme d’austérité de l’ordre du sportif de haut niveau« , a-t-elle expliqué au journaliste.
Bien sûr, un tel rythme s’accompagne de sacrifices. « Je vis un peu cloîtrée dans le sens où j’ai tout le texte du lendemain à apprendre et que je sais que si je vais boire des coups avec eux, je vais galérer le restant de la semaine, ça va avec une vie un peu monacale« , a ajouté Audrey Fleurot. Un travail qui a très clairement porté ses fruits !
